3799 et des poussières

Nous sommes en l’an 3799 et des poussières de l’ère galactique, quelque part en périphérie de la galaxie à tête de cheval sur la planète numérotée 3799 et des poussières sur le catalogue universel direct. C’est un monde cosmopolite et joyeux, peuplé de toutes sortes de créatures issues des quatre coins de l’univers. On y trouve même un terrien de race humaine, Anton Vanadrinanika, spécialiste d’une planète dont tous ont depuis longtemps oublié l’existence, “la planète bleue”. Alors que tout concourait à ce qu’il ne voyage jamais, il gagne une croisière spatiale qui sera loin d’être de tout repos.

Il y croisera, une tatoueuse-injecteuse-implanteuse aux yeux changeant de couleur, une bande de chevaucheurs de météores, une géante gargantuesque qui veut à tout prix s’implanter un terrien sous la peau, une bonne poignée de vers de terre, une flaque vivante, des méduses intersidérales et un tamanoir tapageur.

Et peut-être, au terme du voyage, l’accomplissement de son rêve le plus fou ?

Une plongée délirante et légèrement foutraque dans l’univers de la science-fiction, un road-movie intergalactique, intratemporel et infradimensionnel porté par une scénographie toute de formes molles et colorées et teintée d’une touche de magie nouvelle.

Compagnie Caktus / Au plateau : Alexandra-Shiva Mélis et Julien Tauber – Mise en scène : Sylvie Faivre – Costumes et décors : Karine Delaunay – Construction : Fred Valla – Lumières : Eric Julou